Ode au branleur browniste par l'intermédiaire de l'arc-buse
Fichtre les baragouinages pédants et inconscequents, fichtre les convenances et ma fois, soyons Nietszchéen jusqu'au bout, fichtre la morale et les moralistes! Il est temps, oh oui il est venu le temps, non pas des cathédrales mais de s'emparer de l'immonde façade ridicule de l'infécond pas dupe de service et de s'outrer face à son snobisme post néo-collonialiste vieille France et vieille écume, dont la vaseuse odeur de marée nous empeste les narines. Humez mes braves, oh oui humez de tout votre nez le fétide parfum des algues pas dupes qui se décomposent sous vos yeux dans ces pages incertaines ou l'esprit ne rencontre que des murs de briques rouges nordistes et forcément consanguines.
Matraqueurs, matraqueuses, sex-symboles et chiens velus il est l'heure de la révolte, la cloche a sonné ça signifie la rue est à nous que la joie vienne comme le disait la grande fumisto-anarchiste, apprenti sorcière et chanteuse pour masturbateur précoce des 60's, Sheila la mal nommée!!! Prennons d'assaut ce char mal lancé et embarquons vitres blindées et portes teintées pour les fenêtres windows de la liberté! Esseulons la solitude verdatre et la verdeur vereuse des périgrinations aigrises de l'infame opportuniste mesquin et fourbe, du catalogue décrépi qu'est le pas dupe échevelé et foutraque!
Tayo! Tayo! Sus au vilain manant et malfaisant! Il faut prendre les armes et combattre les certitudes les plus incertaines et les plus infondées, reprendre les devants de l'arriérisme et aller face au vent et vent à la découpe, décapiter le cancrelat frelaté qui s'égosille perpétuellement contre le gazoil de la vie et son prix, contre l'essence des rouges plaines de la non moins pleine facilité de n'être point non plus un mais plusieurs en cette journée sainte du samedi à Jouy en Josasse.
Tout ça pour dire, putain vieux con t'en laches quand une chronique marante?